HOMMAGE A MES FANS

Publié le par Barth

Salut les blogeurs, désolé ces temps-ci je fais partie de ces gens qui commettent le pêché de travailler,

 

Jespère que vous me pardonnerez un jour ô  dieu de la flegme de vous avoir bafoué...

 

Bon du coup j’ai décidé de rendre hommage à 2 beaux poèmes que les gens ont mis sur mon blog (font-ils partie de mes  7 fidèles abonnés à ma newsletter ?)

 

Vous allez me dire « ouah Barth il se fait pas chier, il recycle ses commentaires.. » mais pas du tout, c’est pour moi le moyen de mettre en lumière des jeunes poètes qui pourront être un jour les François Feldman du XXIème siècle..

INTERLUDE POUR UN SOURRIRE

 

 

 ALORS? QUE DEVIENNENT LES VALSES DE VIENNE?

 (françois Feldman's song)

 

 

 Sinon, pourquoi vous ne voulez plus jouer vaec moi?

Parceque karen Cheryl m'a laché? pff, on rigolait bien, non? mais bon j'ai été victime du jeunisme ambiant, tant pis je reviendrai plus fort et PLUS MECHANT!!!! oh, oh

HUGO D.témoigne en exlu pour mon blog!


C EST BON ON REPREND!

Ah, dois-je citer les 2 auteurs ? je ne leur ai pas demandé, alors en attendant qu’ils me donnent :

Poneyboy,  a composé un poème très engagé et imagé a sur les poneys

LE Pêcheur de moules a crée un poème très subtil sur un sujet tabou en France : les vis…

 

 

Et puis n’oubliez pas qu’en  Avril

Lavigne… (Ah ah, est-ce trop subtil ???)

N'oublions pas les vis;

ô toi vis éternelle
ta structure phallique
et ton métal charnelle
sont si egnimatiques

Je te regarde pénétrer
des boulons qui se donnent.
tu tournes les pieds
jusqu'à ce que ta tête les cogne!

Parfois quand tu te plantes
sous un ongle rebelle
cela prouve que tu es vivante
et tu deviens encore plus belle.

VIS VIS VIS
ouvre ton iris
VIS VIS VIS
et offre ton clitoris.


Signé; un admirateur du site et des outils (surtout les vis, vous l'aurez deviné alors ne faisons pas des caisses avec des boulons).

 

Poney

A califourchon entre l'ane et le cheval
tu broutes et toujours tu cavales
ta longue crinière teintée de terre
restera à jamais un mystère

Tu es l'animal le plus distrayant
car parfois tu defeques blanc
mais quand du derrière tu exploses
une petite tape sur ta croupe s'impose

Poney oh animal de toute  beauté
tu merites vraiment d'être monté
car quand au galop tu t'en vas
des larmes coulent dans le harras

Petit poney si longtemps décrié
nos sentiments on beaucoup évolué
Alors reste ici joli poney
et promets nous de ne plus avorté

Publié dans barth

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
U
Voltaire et Didier Super, jusqu'ici a egal niveau de qualite d'ecriture, n'ont plus qu'a aller se rhabiller !<br /> Le nouveau poete est arrive ! Vive Barth !!!<br />  
Répondre